Napoleons laatste levensjaren

Titel
Napoleons laatste levensjaren

Jaar
1916

Pagina's
374



NAPOLEONS LAATSTE LEVENSJAREN    57

L’émigration, le faubourg Saint-Germain étaient des sujets sur lesquels ïl revenait avec moi le plus volontiers dès que nous étions ensemble, et il expliquait cela, me disant une fois: „j’étais au fait des miens, mais j’ai toujours ignoré ceux-la.” C’était d’ailleurs en lui, ajoutait-il, le penchant naturel de savoir ce qui se passait chez le voisin, le commérage des petites villes. „Ce n’était pas, continuait-il, qu’on ne m’en parlait au temps de ma puissance; mais si 1’on m’en disait du bien, je me tenais aussitöt en garde, je craignais les insinuations, et si 1’on m’en parlait mal, je me défiais de la délation, et j’avais a me défendre du mépris. Ici, mon cher, aucun de ces inconvénients; vous et moi, nous sommes déja de 1’autre monde, nous causons aux Champs-Elysées: vous êtes sans intéréts, et moi sans défiance.”

J’étais donc heureux quand 1’occasion de raconter se présen-tait, et je la saisissais avec empressement....

Zelfs toen zijn oogen zoo slecht waren geworden (half December waren zij al zoover achteruit gegaan), dat hij niet meer in staat was om onder dictee van Napoleon te schrijven en dat zijn zoon die taak moest overnemen, bleef hij het onwaardeerbaar gezelschap voor Napoleon, die hem telkens bij zich liet ontbieden en die hem steeds bereid vond hem door praten de leege daguren of de lange uren van slapeloosheid ’s nachts, te verkorten. Hoezeer Napoleon op hem gesteld was, blijkt dan ook, behalve uit het feit, dat hij en zijn zoon de eenige uit zijn gevolg waren, die hij — zoowel op de Briars, als later op Longwood — heeft uitgekozen om bij hem in te wonen, uit den volgenden brief: „Mon cher comte de Las Cases, mon coeur sent vivement ce que vous éprouvez. Arraché, il y a quinze jours, d’auprts de moi, vous êtes enfermé, depuis cette époque, au secret, sans que j’aie pu recevoir ni vous donner aucunes nouvelles, sans que vous ayez communiqué avec qui que ce soit, Francais ou Anglais, privé même d’un domestique de votre choix. Votre conduite a Sainte-Hélène a été comme votre vie, honorable et sans reproche: j’aime a vous le dire.

Votre lettre a une de vos amies de Londres n’a rien de ré-préhensible, vous y épanchez votre coeur dans le sein de 1’amitié. Cette lettre est pareille a huit ou dix autres que vous avez écrites. a la même personne et que vous avez envoyées décachetées. Le commandant de ce pays ayant eu 1’indélicatesse d’épier les expressions que vous confiez a 1’amitié, vous en a fait des reproches; dernicrement il vous a menacé de vous renvoyer de

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