Napoleons laatste levensjaren

Titel
Napoleons laatste levensjaren

Jaar
1916

Pagina's
374



NAPOLEONS LAATSTE LEVENSJAREN    35

Amerika zou worden gegeven en dat het misschien kon gebeuren, dat men hem alleen zou veroorloven in Engeland te blijven.

Kapitein Maitland stelde de „Slaney”, die zich intusschen bij de Bellerophon had gevoegd, ter beschikking van Gourgaud, waarmee deze naar Engeland vertrok, terwijl Las Cases aan boord van de Bellerophon bleef om alles voor de ontvangst van Napoleon in orde te maken.

Den 15-den Juli, zoodra het licht werd, begaf Napoleon zich aan boord van de „Épervier,” die hem naar de Bellerophon zou brengen. Generaal Beker wilde hem vergezellen, maar Napoleon wees hem terug: „retirez-vous, general, zeide hij, je ne veux pas qu’on puisse croire qu’un Francais soit venu me livrer a mes ennemis.”

„Sur le Bellérophon, schrijft de luitenant ter zee Pelletreau, die op de Épervier dienst deed, on surveillait anxieusement la manoeuvre du brick. Le voyant arrêté, le capitaine anglais, qui craignait sans doute encore que Napoléon lui échappat, fit armer des embarcations et les dirigea sur 1’Epervier. A cette vue, 1’émo-tion grandit parmi nos marins, voyant d’aussi prés le moment oü 1’Empereur allait passer aux mains de ceux qu’ils savaient ses plus cruels ennemis et ceux de la France.

Le grand canot anglais accosta: a son bord se trouva le premier lieutenant du vaisseau, qui monta aussitöt sur le brick et vint saluer Sa Majesté. Le plus grand silence, un silence quasi-religieux, régnait sur le pont: tous sentaient qu’un acte solennel s’accomplissait, qu’ils assistaient a un des plus grands drames de 1’histoire . . . Avant de quitter 1’Epervier, 1’empereur fit ses adieux a tous ceux qui 1’entouraient, leur dit qu’il se rappele-rait longtemps les heures qu’il venait de passer au milieu deux, et invita. M. Jourdan (de commandant van de Épervier) a 1’ac-compagner et a rester déjeuner avec lui a bord du Bellérophon. II était dix heures. Assis dans 1’embarcation anglaise et au moment oü 1’on débordait, pendant que les Anglais laissaient éclater leur joie et que 1’équipage de 1’Epervier, réuni du cöté du ba-bord, manifestait une réelle douleur et saluait des cris de: „Vive 1’Empereur,” Napoléon répondait par des signes d’adieu; puis, prenant par trois fois de 1’eau dans sa main, il la répandit sur le flanc du brick comme en une bénédiction.

Les embarcations se dirigèrent vers la croisière anglaise. A bord du Bellérophon 1’on était anxieux; c’est pour cela que,

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