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NAPOLEONS LAATSTE LEVENSJAREN
servé, il m’a paru clair, lumineux et lustre. Nuances si instable au surplus, qu’après 1’entrevue, et bien que chacun, on peut le croire, eüt regardé avec attention Bonaparte, elles donnèrent lieu a des discussions.”
Kapitein Basil Hall, die lord Amherst naar China had vergezeld, maar die ten gevolge van allerlei omstandigheden, later dan lord Amherst St. Helena aandeed, werd den 13 den Augustus 1817 door Napoleon in audiëntie ontvangen. Hij was reeds den llden Augustus op St. Helena gekomen en had onmiddellijk pogingen gedaan om bij den Keizer te worden toegelaten. Deze echter had er niet veel lust in, hoeveel moeite Bertrand en O’ Meara zich ook bij hem gaven om hem te overreden, dat hij den kapitein dit genoegen zou doen. Plotseling kreeg deze den inval, om zich op den naam van zijn vader, James Hall, den Schotschen geleerde, te beroepen, die indertijd Brienne had bezocht, toen Napoleon er als leerling vertoefde.
Dit werkte. Napoleon verleende hem een audiëntie. Toen hij het vertrek binnen trad, waar de Keizer hem wachtte, stond deze in gedachten. „Debout pres d’un feu, Napoléon se tenait accoudé au marbre de la cheminée, le front penché. II leva les yeux, fit quelques pas vers moi et répondit a mon salut d’un léger signe de la tête. Sa parole de début fut: „Quel est votre nom?” Puis il dit: „Ah! oui, Hall . . . J’ai connu votre père a 1’ école de Brienne .... Je me le rappelle parfaitement .... II aimait beaucoup les mathématiques . . . . II ne se mêlait guère aux élèves et préférait la société des professeurs.
II se tut un instant. J’exprimai ma surprise qu’il püt avoir mémoire d’ un simple particulier, après un si long laps de temps et des événements si considérables; il reprit: „Vous vous éton-nez a tort. Votre père est le premier Anglais que j’aie rencontré. C’est pourquoi je ne 1’ai pas oublié .... Nouveau silence. Ensuite il demanda, avec une sorte de malice dans le regard et comme s’il s’amusait de la question: „Avez-vous entendu votre père quelquefois parler de moi ?
— Fort souvent. — Et que disait-il?
— II disait sa vive admiration pour les encouragements que vous avez donnés aux Sciences durant votre règne.
Un sourire accueillit ce compliment.
— Et n’a-t-il jamais témoigné le désir de me voir?
— Je 1’ai fréquemment entendu dire que nul homme au monde ne méritait autant d’être vu que Napoléon ....