NAPOLEONS LAATSTE LEVENSJAREN 239
brusquement, il la laissa retomber; il venait de lire le nom de terreur. Le mouvement fut absolument, chacun le remarqua, comme de quelqu’un qui met par mégarde la main sur un mor-ceau de fer chaud.
— Étiez-vous a Salamanque et a Toulouse?
— Non.
— Votre régiment se trouvait-il a la bataille de Talavera?
— Oui. . .
— Avez-vous des blessures?
— Deux.
— Votre nom n’a-t-il pas flguré dans des ordres du jour?
Le lieutenant-colonel, trop modeste, hésitait a répondre: „Trois fois,” intervint le capitaine Baird, son voisin.
L’Empereur s’adressa a ce dernier.
— Vous êtes capitaine de grenadiers?
— Oui.
— Depuis combien de temps servez-vous?
— Depuis bientöt viiigt ans.
— Et toujours capitaine?
— Toujours.
Le cercle continuait par le capitaine Jordan. (deze was getrouwd met een zuster van „la Nymphe.”)
— Vous êtes marié?
— Oui.
— Votre femme est jolie, m’a-t-on dit. Combien avez-vous d’enfants ?
— Deux. De Keizer deed aan de volgende personen nog eenige snelle vragen en kwam eindelijk aan den kapitein L’Estrange, „un brave petit gaillard, extraordinairement bronzé de peau.”
— Combien comptez-vous d’années de service?
— Quatorze, dont deux dans 1’Inde.
— Y avez-vous été malade, que votre teint est si noir?
— Non.
— Buvez-vous alors? L’Estrange sourit, pour toute réponse. Napoléon insista plaisamment en anglais: „Drink? Drink?” Puis, au suivant, le capitaine Duncan:
— Depuis combien de temps servez-vous ?
— Depuis plus de vingt ans.
— Vouz avez été dans 1’Inde?
— Oui.