Napoleons laatste levensjaren

NAPOLEONS LAATSTE LEVENSJAREN

Rondom het park liep een lage muur, die een omtrek van plus minus zes kilometer omsloot — de „grens van vier mijl” genaamd — waarbuiten, op een onderlingen afstand van vijftig pas, een schildwacht was geplaatst. Deze schildwachten trokken s’nachts binnen den omtrek van den muur. Het vrije gebruik, dat Napoleon overigens van Longwood mocht maken, bestond daarin, dat hij zich — volgens één der artikelen van de instructie, door de Engelsche regeering voor den gouverneur uitgevaardigd — binnen een grens van 19 kilometer — de „grens van 12 mijl” genaamd — die, naar een denkbeeldig-getrokken lijn, het geheele plateau omvatte, waarop Longwood zich bevond, te voet of te paard vrij mocht bewegen, doch dat hij daarbuiten door een Engelsch officier moest worden vergezeld. „Ulcérés comme il était permis de 1’être, nous étions sensibles a tout, et trop souvent les motifs qu’on nous donnait prenaient encore les couleurs de 1’ironie. Ainsi des sentinelles étaient mises, a la nuit, sous les fenêtres de 1’Empereur et jusqu’ a nos portes; c’était, nous disait-on, pour notre propre süreté. On gênait la libre communication avec les habitants, on nous mettait au secret, et 1’on répondait que c’était pour que 1’Empereur ne fut point importuné. Les consignes, les ordres variaient sans cesse; nous vivions dans la perplexité, dans 1’hésitation, dans la crainte d’être exposés a chaque pas a quelque affront imprévu,” schrijft Las Cases. Nadat Napoleon er met admiraal Cockburn over had gesproken en door middel van de Montholon over had gecorrespondeerd, beloofde deze de hand met zijn instructie te lichten. „L’amiral a été a merveille; 1’Empereur n’a eu qu’a se louer de lui; toutes les aspérités se sont émoussées, on s’est entendu sur tout. Ainsi il a été convenu, que 1’Empereur pourrait aller désormais dans 1’ile, que 1’officier que 1’instruction attachait a sa personne n’exercerait qu’une surveillance lointaine qui ne pourrait blesser les regards de 1’Empereur, que les visiteurs arriveraient a 1’Empereur, non par la permission de l’amiral, qui était le surveillant de Longwood, mais par celle du grand-maréchal, qui en faisait les honneurs,” teekent hij verder aan. Dit ging een paar dagen goed. Op eens echter veranderde de admiraal van gedachten: „L’amiral, dans sa dernière entrevue avec 1’Empereur, schrijft Las Cases eenige dagen later, avait trés délicatement arrêté et promis que, lorsque 1’Empereur voudrait sortir des limites, il en ferait prévenir le capitaine anglais de service a Longwood, que celui-ci se rendrait au poste pour ouvrir le passage a 1’Empereur, et