OVER FRANCISCUS VAN ASSISI 45
״Au fond, ce qui passionne son ame d'écrivain, ce sont les faits et les idéés. II les saisit oü il les trouve. La vérité n'appartient-elle point a tous, et les phéno-mènes de la nature, ou ses lois, sont-ils la propriété du premier qui les observe ? On pourrait done admettre que, malgré les apparences, si Beyle pille sans vergogne les livres d'autrui, il n'y a point la calcul d'intérêt personnel. Son amour ardent et exelusif du vrai a fait de Beyle un voleur.
Au reste, la plupart de ceux qu'il a pillés n'étaient que des érudits, et ce grand seigneur de lettres, candidat a la gloire des créateurs, méprisait comme il convient tous les pédants, qui ne savent ni penser ni sentir. II ne se fait done aucun scrupule d'emprunter suivant son bon plaisir a. pareille canaille. Toute cette part de son livre, Beyle la juge & sa vraie valeur: savant attirail, bon tout au plus a éblouir des lecteurs naïfs. II aura beau, grace & Lanzi, Bossi, Amoretti ou Pignotti, accu-muler des dates, des noms, des références; il sait que le mérite de son ״Histoire" est ailleurs".
Wat Stendhal in zijn boek, over Giotto vertelt, is als critiek en als historie nagenoeg waardeloos.
Prof. Gustave Lanson schreef over Stendhal: „II passait pour un esprit paradoxal, ironique, froid, qui aimait a mystifier et scandaliser les gens."
(״]Époque contemporaine" in ״Histoire illustrée de la httérature frangaise"). Zou in déze geestes-gesteldheid dit ״gewrocht" geschreven zijn?
in
Giotto's allegorische verbeeldingen verzadigen ons niet meer, ondanks het psychisch in- en doordringen van heilig dadenleven. O, weinigen herschiepen zoo