Essay en critiek, Groote figuren

OVER FRANCISCUS VAN ASSISI 27

van alle aardsche goederen, leefde in de ״vreugde", maar ook in het „lijden" van Christus, den Gekruisigde¹).

IY

Franciscus' „Canticum fratris Solis,²) is heerlijke gevoels-uitstorting, zonnehymne van een dertiende-eeuwer, maar géén pantheïstische lyriek. Hier׳ ׳p wees al Johannes Joergensen in zijn boek: „Saint I tangois d'Assisi, pag. 461:

„.. .jamais il ne lui est arrivé de confondre Dieu ni soi-même avec la nature; et 1'alternance d'ivresse orgia-que et de désespoir pessimiste, telle que la produit le sentiment pathéiste, toujours lui a été étrangère. Ce n'est pas lui, comme plus tard Shelley, qui aurait souhaité de ne faire qu'on avec la nature, ni qui, non plus, avec le Werther de Goethe, ou avec Tourguénef, aurait eu 1'impression de s'abandonner en tremblant 4 1'aveugle fatahté des choses, d'être la victime du monstre éternellement avide qu'est la nature. Son attitude è, 1'égard de la nature a toujours été, purement et simple-ment, celle du premier article du ״Credo" de 1'Église: la croyance en un père qui est, en même temps, créateur".

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Dat is bijna heelemaal zuiver doorvoeld. Mét heele-maal, wijl in Franciscus' verheerlijking van ״broeder