9 2 IS. QUERIDO: NAPOLEON
stuk van Taine, dat ik hier geef. Slechts wijst hij op het oordeel. En hoel Stakkerige, toch eminente Taine, zegt hij, die met al zijn historische geleerdheid niet verder kan komen, dan tot 't geven van zorgvuldig gekozen aanhalingen uit de gedenkschriften van mevrouw De Rémusat, en enkele uittreksels uit het
werk van madame De Stael.
״N'est ce pas une pauvrete que de voir la philosophic de l'historie prendre en consideration les comm^rages de deux bas bleus, l'un et l'autre incapables de jamais pardonner les m^comptes cuisants de leur vanite
féminine?
Déchirer è. belles dents 1'homme qui vous écon-duisit, c'est pour le sexe faible la revanche banale et inévitable des rêves pareils a ceux de Mme de Staël,
— froidement repoussée, alors qu'elle s'était enflammée au mirage de rejouer les grandes favorites d'autrefois,
— comme ce devait être la conséquence du séjour de Mme de Rémusat avec 1'Empereur aux Pont-de-Briques, oü elle croyait avoir acquis sur lui une haute influence. Si ce n'est pas une profonde déception, comment expliquer, a la fois, les horreurs débitées dans les mémoires, et 1'enthousiasme ou, pour mieux dire, le fétichisme que Napoléon inspirait è Mme de Rémusat après les longues soirées passées jadis en tête-a-tête?" (Levy, Napoléon Intime, pag. 386.)
Verder wijst Levy er op hoe vaak geschiedschrijvers klakkeloos z.g. opzienbarende feiten elkaar hebben nageschreven, zonder eenig persoonlijk onderzoek, terwijl later de malle fantasterij er van bleek. Levy zegt: zeker, Napoleon kon, gelijk alle personen door gewichtige zaken in beslag genomen wel eens ongeduldig zijn. Maar was zijn drift-uitbarsting dan zoo ruw: