Napoleon

VEREERDERS EN HATERS VAN NAPOLEON 35

et plus impulsif capable de telles charges et décharges électriques, en qui 1'orage intérieur füt plus continu et plus grondaut, plus sondain en éclairs et plus irré-sistible en choses. Chez lui, aucune idéé ne demeure spéculative et pure; aucune n'est une simple copie du réel ou un simple tableau du possible; chacune est une secousse interne qui, spontanément et tout de suite tend k se transformes en acte; chacune s'élance et se précipite vers son terme, et y aboutirait sans intervalle, sie elle n'était contenue et réprimée de force. Parfois 1'éruption est si prompte que la répression n'arrive poisit è. temps."

En als voorbeeld deze anecdote: ,,Un jour, en Egypte, ayant a diner plusieurs dames frangaises, il a fait asseoir k ses cótés une jolie personne dont il vient de renvoyer le mari en France; subitement, il renverse sur elle une carafe d'eau, comme par mégarde, et sous prétexte de réparer les desordre de la toilette mouillée, il 1'entraine avec lui dans son appartement, il y reste avec elle longtemps, trop long-temps, tandis que les convives, assis k table autour du diner suspendu, attendent et se regardent."

En of het niet genoeg is, dadelijk er op volgend: ,,Un autre jour, a Paris, vers 1'époque du Concordat, il dit au sénateur Volney: „La France veut une religion." Volney séchement et librement, lui riposte: „La France veut les Bourbons." Sur quoi, il lance k Volney un tel coup de pied dans le ventre, que ce-lui-ci tombe sans connaissance et que, transporté chez un ami, il y reste malade, au lit, pendant plusieurs jours."

Dit laatste gebeuren, ontleent Taine aan Bodin en eene „Causerie du Lundi" van/"Sainte Beuve over Volney, zie pag. 53 en 54 van Les Origines de la France Contemporaine.

Ook Lévy wijst op dit geval. Hij citeert niet het